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Optimiser le rangement de ses placards

Des affaires qui s’empilent, des tiroirs qui débordent…Nous accumulons beaucoup de vêtements et d’objets dont nous avons du mal à nous séparer et nos logements peuvent rapidement être encombrés. Mais il existe des solutions pour gagner de la place dans ses placards !

Être bien organisé

Lorsqu’on entame un grand rangement, l’important c’est d’être méthodique ! Allez-y étape par étape et procédez pièce par pièce. Réservez-vous un large créneau dans votre emploi du temps, lancez votre playlist préférée et c’est parti ! Tout d’abord, sortez les affaires de vos placards et classez-les par catégorie : vêtements, accessoires, livres, chaussures, etc. Ensuite, éliminez le surplus ! Pour chaque catégorie, créez 3 piles : à donner, à vendre et à conserver. Pendant votre tri, posez-vous les bonnes questions : est-ce que le vêtement ou l’objet vous plait toujours ? Est-ce qu’il vous est encore utile ?

Optez pour divers contenants

Lorsque vos placards sont vidés, optimisez vos rangements en les aménageant. Caisses, paniers, cartons, séparateurs de tiroirs et demi-étagères vous seront très utiles. Chaque espace doit être dédié à une catégorie. Grâce à ces contenants, vous pourrez transporter vos affaires beaucoup plus facilement d’un endroit à un autre. Vous pouvez également en étiqueter pour facilement les reconnaître.

Optimisez l’espace

Lorsque vos placards sont aménagés, il n’a plus qu’à placer vos différentes affaires dans les espaces dédiés. Placez le contenu le plus lourd en bas de vos placards et le plus léger en haut. Les affaires que vous utilisez le plus souvent doivent être facilement attrapées.

La méthode KonMari

La japonaise Marie Kondo, spécialiste du rangement, a pour objectif de rendre les intérieurs plus agréables à vivre et pour longtemps. Sa méthode de pliage des vêtements a révolutionné la manière de les ranger. Au lieu de les plier à plat comme nous le faisons généralement, elle propose un pliage à la verticale. Cette méthode permet de gagner beaucoup de place dans les tiroirs et armoires et d’avoir une visibilité sur toutes les affaires que vous avez dans vos placards.

Les travaux que peut effectuer un locataire pendant son bail

En location, tout n’est pas permis en termes de travaux. Certains nécessitent l’accord du propriétaire et d’autres non. Regardons ça de plus près !

Les petits travaux

Un locataire peut effectuer de petits travaux comme repeindre les murs, poser de la tapisserie, percer des trous pour fixer une étagère, un cadre, un meuble (amovible). Ce sont des travaux qui ne transforment pas beaucoup le bien loué et sont réalisables sans avoir besoin de l’autorisation du propriétaire du bien. L’important que qu’au moment du départ du locataire et de l’état des lieux, le logement soit en bon état. Si les murs ont changé de couleurs, celles-ci ne doivent pas être trop excentriques car elles peuvent empêcher le bailleur de relouer le bien par la suite. Si c’est le cas, il peut vous être demandé de repeindre dans la couleur d’origine.

Les gros travaux

De gros travaux peuvent également être effectués par un locataire. Cependant, ils nécessiteront une autorisation écrite du propriétaire au préalable. Par exemple, vouloir remplacer la baignoire par une douche, abattre une cloison ou encore installer une nouvelle porte d’entrée blindée constituent une transformation du logement.

Si certains travaux touchent à la structure de l’immeuble, l’autorisation de la copropriété puis du propriétaire sont nécessaires.

Une hausse du taux d’usure

Le 28 septembre, la Banque de France a annoncé une hausse du taux d’usure à compter du 1er octobre 2022, passant de 2,6% à 3,03%, de quoi rassurer certains emprunteurs !

Qu’est-ce que le taux d’usure ?

Pour rappel, le taux d’usure est le taux annuel effectif global (TAEG) maximal auquel une banque peut prêter à un particulier. Il permet de protéger les particuliers des conditions d’emprunts abusives de la part des établissements de crédits, et notamment durant les périodes d’inflation comme celle que nous vivons actuellement.

Ce taux d’usure est fixé par ma Banque de France et dépend du type de prêt, de son montant ainsi que de la durée de l’emprunt et s’actualise à la fin de chaque trimestre pour le suivant.

Depuis le 1er octobre, ce taux est passé de 2,6% à 3,03% pour les crédits immobiliers de moins de 20 ans et de 2,57% à 3,05% pour ceux de plus de 20 ans.

Quels sont les effets de cette mesure pour les particuliers ?

D’après un sondage Opinion System commandé par l’association française intermédiaires en bancassurance (Afib), 45% des demandes de crédits ont été refusées en juillet. Aujourd’hui, davantage de demandes crédits pourraient être accordées. Cependant, selon certains courtiers, ces effets seraient de courte durée en raison de l’évolution à la hausse des taux immobiliers, ce qui pourrait entraîner d’autres refus de crédits immobiliers dans les mois à venir.

Les gestes efficaces pour réduire sa facture énergétique

Face à l’augmentation du prix de l’énergie de cette fin d’année, on vous propose un petit récap des bonnes pratiques à adopter pour réduire la facture énergétique de votre bien (et par la même occasion lutter contre le réchauffement climatique) !

Réduire sa consommation de chauffage

Une majorité de l’énergie consommée est utilisée dans le chauffage et l’eau chaude. La température ambiante de votre intérieur doit varier entre 16 et 21°C. Des degrés supérieurs augmenteront fortement votre consommation énergétique. A savoir que passer votre chauffage de 20°C à 19°C peut vous faire économiser jusqu’à 7% d’énergie. Idéalement, optez pour 20°C dans les pièces de vie et 17°C dans les chambres et n’oubliez pas de baisser la température en cas d’absence la journée.

Réduire la consommation de ses appareils électriques

Si vous prévoyez d’acheter de nouveaux appareils électroménagers, vérifiez bien l’étiquette énergie : chaque différence de classe peut vous faire économiser entre 15 et 20% ! Au quotidien, pensez à éteindre les appareils en veille. Cela vous permettra d’économiser jusqu’à 10% sur votre facture d’électricité hors chauffage.

L’éclairage

Il correspond à 12% de notre consommation électrique. Alors pensez à ne pas laisser allumées vos éclairages inutilement ! Vous pouvez également opter pour des lampes à LED qui consomment peu et durent longtemps. Des actions quotidiennes simples et surtout très efficaces pour votre budget !

*Enfin, si vous êtes propriétaire d’un bien et que les travaux ne vous font pas peur, il existe des aides à la rénovation énergétique que vous pouvez retrouver dans notre article : https://www.conceptimmobilier.fr/actualites/renovation-energetique-3-aides-pour-vos-travaux/

La loi Pouvoir d’achat : conséquences pour le secteur immobilier

Le 3 août dernier, le projet de loi sur la protection du pouvoir d’achat a été adopté à l’Assemblée nationale. Mais quelles sont les conséquences pour les bailleurs et locataires ? Voici une revue des principales mesures prévues en ce qui concerne l’immobilier.

Une indexation des loyers plafonnée

L’objectif de ce projet de loi est de faire face à l’inflation et ses conséquences. L’indice de révision des loyers est, depuis 2008, calculé selon l’évolution des prix à la consommation. Mais avec l’inflation actuelle qui explose, de locataires pourraient être en difficulté. Pour les protéger, cette loi prévoit un plafonnement de cette indexation à 3,50 % en France métropolitaine.

Des loyers plus encadrés

Aujourd’hui, un encadrement des loyers est appliqué dans 24 villes en France et plafonne les loyers des habitations. Toutefois, cette loi permet de dépasser ce plafond et constitue le complément de loyer lorsque le logement possède des caractéristiques de confort de ou localisation exceptionnelle. Seul problème, les caractéristiques ne sont pas définies, pas plus que la hauteur de ce complément de loyer.

Face à cela, la loi pouvoir d’achat liste les défauts des logements qui pourront interdire les compléments de loyers :
– Des sanitaires sur le palier
– Des signes d’humidité sur les murs
– Un DPE Classé F ou G
– Des fenêtres laissant passer l’air anormalement
– Un vis-à-vis de moins de 10 mètres
– Des infiltrations ou inondations provenant de l’extérieur
– Des problèmes d’évacuation de l’eau au cours des trois derniers mois
– Une installation électrique dégradée
– Une mauvaise exposition de la pièce principale

Les astuces pour relooker son balcon

En ville, avoir un balcon ajoute une pièce de vie supplémentaire. Lorsque les beaux jours arrivent, il est agréable de pouvoir prendre l’air tout en restant chez soi. Quelque soit ses dimensions, cet espace a l’avantage de pouvoir être relooké facilement et à moindres coûts ! Voici quelques pistes à suivre pour relooker votre balcon : 

Le revêtement au sol  

Le choix du revêtement au sol est la première étape de ce relooking. Il dépendra du style voulu et surtout de votre budget !  Le carrelage est le revêtement de sol le plus onéreux mais il a ses avantages. Il est résistant, facile d’entretien et il existe des imitations d’autres matériaux comme le bois, le béton ou la pierre. On retrouve également les dalles clipsables, qui ne nécessitent pas d’entretien spécifique. Elles se posent rapidement, évitent les gros travaux et apportent une ambiance chaleureuse. Enfin, si vous souhaitez donner des airs de jardin à votre balcon, le gazon synthétique est idéal. Il apportera cette touche de verdure à votre logement.

Le choix du mobilier  

Le bon relooking passe également par un mobilier adapté au volume de votre espace. Si vous y passez beaucoup de temps, il ne faut pas lésiner sur le côté cozy ! Pour les petits espaces, choisissez de préférence des meubles au design filaire et aérien. Pour les plus grands, un canapé, une table basse et des fauteuils et de nombreux coussins rendront cet espace chaleureux et convivial. En termes de décorations, les inspirations sont nombreuses :  le rotin pour une ambiance rétro, des couleurs pour le côté pop, des tapis d’extérieur pour une ambiance zen, vous avez l’embarras du choix ! Pour les petits budgets, il existe beaucoup de tutoriels pour construire des canapés, tables et fauteuils à base de palettes ou de planches de bois. Vous pourrez alors les créer sur mesure pour votre balcon.

Mettez-vous au vert !

Les plantes seront vos alliées dans ce relooking. Elles vont participer à l’ambiance que vous souhaitez donner à votre extérieur. Tenez toutefois bien compte de l’exposition du balcon pour leur choix de vos plantes ! Vous pouvez également y planter des espèces potagères et fruitières adaptées à la culture en pot.

Aménager un balcon de très petite taille

Si votre balcon est de petite taille, l’essentiel c’est l’optimisation ! Adaptez votre mobilier selon les usages que vous ferez de votre balcon, que ce soit se reposer, manger, lire, etc. Si vous aimez prendre votre petit-déjeuner sur votre balcon, une table ronde et des chaises en métal coloré feront très bien l’affaire ! Si vous être plutôt adepte des siestes au soleil, un pouf ou petit canapé d’extérieur vous offriront d’agréables après-midis. Enfin, gagnez de la place en jouant sur la hauteur en installant des étagères pour y placer vos plantes et créer cette touche naturelle.

Location immobilière : de nouvelles obligations pour les particuliers

Vous êtes un particulier et vous souhaitez mettre en location votre bien ? Sachez que de nouvelles informations obligatoires sont à mentionner dans votre annonce depuis le 1er juillet !
L’arrêté du 21 avril 2022 a établi la liste des informations à afficher obligatoirement. Ces mentions concernent les annonces relatives aux locations vides et meublées à usage de résidence principale du locataire, aux baux meublés étudiant et les baux mobilité.

Votre annonce devra indiquer :

– Le montant du loyer mensuel, augmenté le cas échéant du complément de loyer ainsi que des charges récupérables, avec la mention « par mois » ou « /mois » et « charges comprises » ou « CC », si tel est le cas
– Le montant du dépôt de garantie éventuellement exigé
– Le caractère meublé éventuel de la location
– La commune et l’arrondissement dans lequel le bien est situé
– La surface habitable du bien en m²
– Le montant des charges récupérables et leurs modalités de règlement

Dans le cas où votre logement se situe dans une zone régie par un dispositif d’encadrement des loyers, vous devrez indiquer la mention « zone soumise à encadrement des loyers », le montant du loyer de référence majoré accompagné de la mention « loyer de référence majoré », le montant du loyer de base précédé de la mention « loyer de base » et le cas échéant, le montant du complément de loyer exigé avec la mention « complément de loyer ».

Enfin, il faut savoir que le montant du loyer mensuel doit être indiqué en caractère plus gros que les montants de référence majoré, du loyer de base et du complément de loyer.

Location meublée : les obligations du propriétaire

Vous souhaitez louer votre bien meublé ? Connaissez-vous bien vos obligations en tant que propriétaire ? Nous faisons le point sur la question.

Les caractéristiques du logement

Bien entendu, vous devez fournir un logement qui répond à certains critères de décence. Le logement loué doit être d’une surface habitable d’au moins 9m2 et d’une hauteur sous plafond de 2,20m minimum. Il doit respecter un critère de performance énergétique minimal et ne pas constituer de risque pour la sécurité et la santé de votre locataire. Il faut être vigilant quant à l’étanchéité des portes et fenêtres, la conformité des branchements électriques et de gaz mais également à ce que le logement ait une aération et un éclairage naturel suffisants des pièces.

Le logement doit comporter certains équipements dont l’alimentation en eau potable, l’installation de chauffage, l’installation d’évacuation des eaux, un coin cuisine, un WC séparé de la cuisine et un réseau électrique permettant l’éclairage de toutes les pièces.

Le propriétaire ne peut pas entrer dans le logement pour vérifier son état d’entretien ou le faire visiter sans l’accord de son locataire. Avant d’effectuer des travaux, il est également indispensable d’informer le locataire de leur réalisation.

Une liste d’éléments obligatoires

Pour répondre aux besoins quotidiens de votre locataire, il existe une liste d’éléments obligatoires à mettre à sa disposition dont :

  • Literie avec couette ou couverture
  • Volets ou rideaux dans les chambres
  • Plaques de cuisson et four (ou four à micro-onde)
  • Réfrigérateur et congélateur (ou compartiment à congélation du réfrigérateur d’une température maximale de -6°)
  • Vaisselle en quantité suffisante et ustensiles de cuisine
  • Table et sièges
  • Étagères de rangement
  • Luminaires
  • Matériel d’entretien ménager adapté aux caractéristiques du logement (aspirateur s’il y a de la moquette, balai et serpillière pour du carrelage…)

Si votre logement ne comporte pas tous ces éléments, le bail sera alors requalifié et il sera considéré comme un logement vide.

Location vide ou meublée, que choisir ?

Si vous vous apprêtez à mettre en location votre bien, deux options s’offrent à vous : la location meublée ou vide. Mais comment choisir ? Voici quelques éléments à savoir pour vous guider dans votre choix !

Bien évidemment, votre choix dépendra des caractéristiques de votre bien. Un petit appartement meublé proche des écoles et universités aura davantage de demandes locatives, tout comme une maison en quartier résidentiel louée non meublée.

Souplesse contractuelle

En termes de souplesse contractuelle, si vous louez meublé, vous aurez la possibilité de demander deux mois de caution au lieu d’un en location vide. Également, la durée d’un bail est d’un an reconductible au lieu de trois ans en vide. Cette condition peut être un avantage pour vous si vous compter récupérer votre logement pour le vendre rapidement.

Rentabilité de la location

Si l’on se penche sur l’aspect de la rentabilité, louer meublé représente un gros avantage. Selon la localisation de votre logement, vous pourrez demander un loyer plus élevé en meublé qu’en vide. Ainsi, les dépenses d’ameublement seront rapidement amorties. Seul point négatif en raison de prix plus élevés : le turnover de locataires est plus important. Un taux de rotation important des locataires peut engendrer une vacance locative d’un mois ou plusieurs, ce qui peut impacter le rendement.

La fiscalité des loyers

Concernant la fiscalité, pour une location vide, les loyers seront considérés comme des revenus fonciers. Vous devrez déclarer les loyers encaissés au cours de l’année civile ainsi que les éventuelles subventions qui vous ont été versées pour améliorer la qualité du logement. Pour une location meublée, les loyers sont à déclarer dans la catégorie Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC). Si vos recettes annuelles locatives sont inférieures à 23 000€, vous aurez le statut de loueur en meublé non professionnel (LMNP). Si vos recettes dépassent ce montant, alors vous serez considéré comme un loueur meublé professionnel (LMP).

Régime Micro-foncier ou réel ?

En location vide, si vous revenus locatifs annuels sont inférieurs à 15 000€ (sans les charges), le régime micro-foncier s’applique automatiquement et vous fera bénéficier d’un abattement de 30 % sur le montant des loyers déclaré. Vous pouvez toujours opter pour le régime réel qui permet de déduire vos charges : travaux, assurance, etc. Votre choix est irrévocable pendant 3 ans. Au-delà de revenus annuels de 15 000€, vous aurez l’obligation de souscrire au régime réel. Si vous choisissez la location meublée, le régime micro-foncier s’applique si vos revenus locatifs annuels sont inférieurs à 72 600 €. Ce régime applique un abattement forfaitaire de 50 %. Le régime réel peut être choisi volontairement mais il sera obligatoire si vous dépassez ce montant. Encore une fois, vous pouvez également choisir volontairement d’être au régime réel. Ici, votre choix sera irrévocable pour 2 ans.

Valorisez vos espaces extérieurs grâce au garden staging !

Vous êtes propriétaire d’une maison avec jardin ou d’un appartement doté d’un balcon ou d’une terrasse que vous souhaitez vendre au meilleur prix ? Pour faciliter votre démarche, il est important de valoriser votre intérieur mais attention à ne pas délaisser vos espaces extérieurs !

L’extérieur d’un bien est généralement la première chose que l’éventuel acheteur va voir, à moins qu’il ne soit situé à l’arrière. Cette première impression va être déterminante et va donner envie ou non à l’acquéreur potentiel de continuer sa visite.

Si vous souhaitez embellir votre extérieur à moindres coûts, le garden staging est la solution. Il s’agit du même principe que le home staging mais appliqué à votre jardin, balcon ou terrasse. L’objectif est de mettre en avant votre extérieur, le rendre chaleureux et le dépersonnaliser pour que le visiteur puisse s’y projeter, et ainsi de vous démarquer des autres biens sur le marché. Un extérieur bien entretenu va rassurer l’acheteur, ajouter une plus-value à votre bien et créer le coup de cœur !

Voici quelques conseils pour embellir vos espaces extérieurs :

  • Faites le grand ménage : désencombrez le lieu, enlevez les éléments usagés ou cassés comme des pots de fleurs, du grillage, du mobilier abimé. Le but est de libérer de la place pour révéler le potentiel de l’espace et partir d’une nouvelle base pour votre réaménagement.
  • Créez une mise en scène végétale : ôtez les mauvaises herbes, les feuilles et plantations mortes, tondez la pelouse et taillez les arbres et haies. Habillez le pied de vos arbres, optez pour de nouveaux pots et plantes dont la floraison est longue pour une meilleure adaptation à la période de vente de votre bien.
  • Clôturez votre jardin ou balcon : le vis-à-vis peut être un critère impactant dans une vente. Essayer de masquez le vis-à-vis grâce à des clôtures et plantes.
  • Optez pour une décoration « cosy » et harmonieuse avec des formes, couleurs et du mobilier aux matières neutres pour que chaque visiteur puisse s’imaginer facilement y vivre. 
  • Aidez le potentiel acheteur à se projeter en créant différents espaces comme un coin repas, salon de jardin ou encore un potager.

Combien cela coûte-t-il ?

Le garden staging reste un rafraichissement de votre extérieur et non un réaménagement complet. Vous pouvez compter une enveloppe entre 0,5% et 1,5% de la valeur de votre logement. Bien sûr, cette enveloppe est variable selon l’étendue de la surface à embellir ainsi que des types de travaux à réaliser. Retenez que le garden staging est basé sur la valorisation de l’existant et non la rénovation complète de votre extérieur.

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